|
|
"Mes petits enfants, le cri des pauvres monte
chaque jour vers mon Cur et mon Cur est affligé à
la vue de tant d'égoïsme, d'avarice et de profit qui relèguent
les pauvres dans une misère toujours plus avilissante.
Mes petits enfants, il est temps de vous réveiller, de regarder vos
frères en face et de considérer leur souffrance et leur pauvreté.
Si vous ne faites rien pour eux, vous offensez la Bonté de Dieu,
ce Dieu qui veille sur vous et qui vous aime, ce Dieu qui vous demande de
vous aimer les uns les autres et d'aimer encore plus les pauvres et les
délaissés.
Je suis Marie, Mère de Miséricorde. Je serre sur mon Cur
Douloureux et Immaculé, les pauvres et les malades. Je veille d'une
manière toute particulière sur tous ceux qui se vouent à
leur service.
Courage, confiance, patience et persévérance.
Priez beaucoup le saint Rosaire à la main.
Je vous bénis. "
(Notre Dame au Père
Jean Marie le 14 décembre 1994)
|
|
Les
religieux et les religieuses de la Fraternité Notre Dame offrent
aux quelques 300 pauvres des quartiers de Paris un repas chaud chaque jour.
Pour la plupart se sera le seul repas équilibré, l'unique
nourriture de survie
Pauvreté, misère
morale, malades, sans-abris, confusion totale sont le lot de nos hôtes
que nous regardons comme le Christ Lui-même souffrant et demandant
la charité, un peu de miséricorde.
Les religieux assurent des visites
dans les familles et dans les hôpitaux, ainsi qu'un service hebdomadaire
de colis alimentaires pour les familles (adaptés selon les besoins)
|
|
|
|
|
Les résultats qui en découlent
sont stupéfiants et particulièrement émouvants. L'espoir
redonne vie, beaucoup retrouvent du travail, les familles se réunissent,
le niveau de vie s'améliore sensiblement dans une société
pourtant bien amère, agressive envers ceux que la vie n'a pas gâté.
|
|
|
|