- Soeur Marie Hélène retourne à Dieu -

Voici une petite Sœur toute humble ; une fille de l'Ordre de Monseigneur Jean Marie, Sœur Marie Hélène de la Vierge Puissante que Notre Seigneur est venu chercher en ce 17 juillet pour lui donner le Bonheur Eternel du Ciel.

Des années de vie religieuse passées dans une vie toute simple et tout abandonnée au Bon Vouloir Divin.

Son principal souci : être fidèle à aider Mgr Jean Marie dans sa Mission que la Bienheureuse Vierge Marie lui a confiée de la part de Dieu, fidèle à la prière et au sacrifice, fidèle à faire connaître et à propager les Messages de la Mère de Dieu au Fréchou.

Eclairée par le Saint Esprit, Sœur Marie Hélène comprenait la lourde tâche qui pèse sur les épaules de Monseigneur Jean Marie, son Supérieur qu'elle aime comme un Père.



Soeur Marie Hélène
de la Vierge Puissante
née le 1er avril 1923, retournée à Dieu
le 17 juillet 2004.

Monseigneur avait eu la vision de la Sainte Vierge et de Saint Joseph Après une crise cardiaque fatale, qui l'amène aux portes de la mort, elle demande à Monseigneur Jean Marie d'intercéder auprès de la Mère de Dieu pour qu'elle obtienne un sursis pour l'aider encore un peu par ses prières et ses sacrifices, ce qu'elle obtient.l'amenant au Ciel comme une enfant.

Plusieurs mois s'écoulèrent avec des problèmes de santé dans l'offrande permanente des sacrifices journaliers ; les difficultés ne manquent pas mais l'Immaculée ne tarit pas en grâces.

Quelques heures encore avant de mourir, Sœur Marie Hélène confiait à Monseigneur Jean Marie ses soucis et renouvelait entre ses mains son total abandon à Dieu.

Partie dans la paix vers le Seigneur, nous comptons plus que jamais sur son intercession auprès de la Bienheureuse Vierge Marie pour soutenir, consoler son confident Monseigneur Jean Marie, et tous ceux qui, de près ou de loin, contribuent à faire aimer et connaître les Messages du Ciel au Fréchou.


Quelques mots de consolation pour ceux qui pleurent :



 


Espérance ! Ceux qui sont morts

La grande et triste erreur de quelques-uns, même bons, c'est de s'imaginer que ceux que la mort emporte nous quittent. Ils ne nous quittent pas. Ils restent.

Où sont-ils ? Dans l'ombre ? Oh! Non, c'est nous qui sommes dans l'ombre. Eux sont à côté de nous sous le voile, plus présents que jamais. Nous ne les voyons pas parce que le nuage obscur nous enveloppe, mais eux nous voient.

Ils tiennent leurs beaux yeux pleins de gloire arrêtés sur nos yeux pleins de larmes. O consolation ineffable, les morts sont des invisibles, ce ne sont pas des absents.

J'ai souvent pensé à ce qui pourrait le mieux consoler ceux qui pleurent. Le voici : c'est la foi à cette présence réelle et ininterrompue de nos morts chéris.

C'est l'intuition claire, pénétrante que par la mort ils ne sont pas éteints, ni éloignés, ni même absents, mais vivants, près de nous ; heureux, transfigurés, et n'ayant perdu dans ce changement glorieux ni une délicatesse de leur âme, ni une tendresse de leur cœur, ni une préférence de leur amour ; ayant au contraire, dans ces profonds et doux sentiments grandis de cent coudées.

La mort pour les bons est la montée éblouissante dans la lumière, dans la puissance et dans l'amour.

Ceux qui jusque-là n'étaient que des chrétiens ordinaires, deviennent parfaits ; ceux qui n'étaient que beaux deviennent bons ; ceux qui étaient bons deviennent sublimes !

Mgr. Bougaud

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